La fermeture du réseau cuivre est nécessaire car ce réseau historique atteint aujourd'hui ses limites techniques et ne répond plus aux besoins croissants en débit des particuliers et des entreprises. Il coûte très cher à entretenir (près de 500 millions d’euros par an) et résiste mal aux intempéries et à l’humidité.
Le maintien de deux réseaux (cuivre et fibre) n’est économiquement ni écologiquement viable : le cuivre consomme jusqu’à quatre fois plus d’électricité que la fibre optique, alors que cette dernière offre des débits cent à mille fois supérieurs et une fiabilité accrue.
La modernisation des infrastructures télécoms par la fibre optique répond à la transition numérique de la France et permet d'accompagner l’évolution des usages (télétravail, streaming, télé-éducation, santé en ligne).