La fibre à partir de 18,99€

02 99 36 30 54

Croissance de l'ADSL en dégroupage total

Une nouvelle étape vient d'être franchie dans le déploiement de l'ADSL. Le dégroupage partiel perd de la vitesse au profit du dégroupage total.Les chiffres publiés par l'ARCEP sont sans appel. Après 3 années de progression rapide, le nombre d'abonnés à l'ADSL en dégroupage partiel baisse pour la première fois. Enregistrée au premier trimestre 2006, cette diminution n' a pourtant rien de négatif, bien au contraire ! En effet, il semblerait que les internautes s'engagent de plus en plus vers les offres en dégroupage total des fournisseurs d'accès (FAI) alternatifs.Le déploiement rapide d'Internet Haut-débit est essentiellement dû à l'explosion des abonnements ADSL et en particulier à celle des offres degroupées. Un tiers des forfaits sont aujourd'hui degroupés partiellement ou totalement. Plus de 3.1 millions de français ont souscrit à une offre degroupée début 2006 contre 1.6 million fin 2004, soit 2 fois plus en une seule année. Plus significatif encore : la part du dégroupage total augmente fortement au détriment du dégroupage partiel. Près d'un million d'internautes sont ainsi abonnés à une offre mulitservices totalement degroupée. Les FAI alternatifs mettent surtout en avant l'économie réalisée sur l'abonnement téléphonique de France Télécom.Des économies, un seul interlocuteur et une seule facture pour l'ensemble des télécommunications, ainsi que des services multimédias innovants sont les arguments de choc des FAI, bien decidés à grignoter des parts de marché à Orange. Néanmoins, si le dégroupage total prend de la vitesse, il ne faut pas oublier que la France est coupée en 2 voire en 3. D'un côté, 76 % des communes bénéficient de l'ADSL "non-degroupé" contre 16% actuellement couvertes par un ou plusieurs réseaux alternatifs degroupés. De l'autre, ce sont plus de 3000 localités qui n'ont donc pas encore accès à l'ADSL, soit 8 % des communes françaises.

François Le Gall - publié le 10/08/2006 à 13h20

Une nouvelle étape vient d'être franchie dans le déploiement de l'ADSL. Le dégroupage partiel perd de la vitesse au profit du dégroupage total.Les chiffres publiés par l'ARCEP sont sans appel. Après 3 années de progression rapide, le nombre d'abonnés à l'ADSL en dégroupage partiel baisse pour la première fois. Enregistrée au premier trimestre 2006, cette diminution n' a pourtant rien de négatif, bien au contraire ! En effet, il semblerait que les internautes s'engagent de plus en plus vers les offres en dégroupage total des fournisseurs d'accès (FAI) alternatifs.

Le déploiement rapide d'Internet Haut-débit est essentiellement dû à l'explosion des abonnements ADSL et en particulier à celle des offres degroupées. Un tiers des forfaits sont aujourd'hui degroupés partiellement ou totalement. Plus de 3.1 millions de français ont souscrit à une offre degroupée début 2006 contre 1.6 million fin 2004, soit 2 fois plus en une seule année. Plus significatif encore : la part du dégroupage total augmente fortement au détriment du dégroupage partiel. Près d'un million d'internautes sont ainsi abonnés à une offre mulitservices totalement degroupée. Les FAI alternatifs mettent surtout en avant l'économie réalisée sur l'abonnement téléphonique de France Télécom.

Des économies, un seul interlocuteur et une seule facture pour l'ensemble des télécommunications, ainsi que des services multimédias innovants sont les arguments de choc des FAI, bien decidés à grignoter des parts de marché à Orange. Néanmoins, si le dégroupage total prend de la vitesse, il ne faut pas oublier que la France est coupée en 2 voire en 3. D'un côté, 76 % des communes bénéficient de l'ADSL "non-degroupé" contre 16% actuellement couvertes par un ou plusieurs réseaux alternatifs degroupés. De l'autre, ce sont plus de 3000 localités qui n'ont donc pas encore accès à l'ADSL, soit 8 % des communes françaises.

Suivez toute l'actualité d’Ariase sur Google Actualités.

Ariase rédige ses contenus en toute indépendance. Certains produits et services peuvent être référencés avec des liens d’affiliation qui contribuent à notre modèle économique (en savoir+).

Sur le même sujet

Les articles les plus récents